vendredi 1 janvier 2016

2009

Dimanche 15 février, 23h44
La série Empreintes a diffusé le document sur son singulier parcours. Là que je prends davantage conscience de mon attachement à ces figures que j’incendiais avec malsaine jouissance lorsque j’embrassais les monomanies de Heïm. Quelle incroyable distance : cette hargne cultivée n’a plus de sens pour moi. Se sentir simplement, mais profondément, en phase avec ses convictions et non pour plaire au meneur, au groupuscule idéologique qui fait reluire son système par l’excès en tout.

Samedi 23 mai
Touffeur au parc et vide d’inspiration.
D’un coup, une pensée à Heïm vieillissant, coupé de ses plus proches attaches du temps perdu. A quand la nouvelle de son décès et l’emballement émotionnel que son cadavre ouvrira. Tant de figures laissées en suspens par l’impossible conciliation des consciences.

Vendredi 3 juillet
Avant de rallier les concentrations estivales, un court séjour à Big Lutèce, mais sans pouvoir y revoir Karl qui s’est curieusement décommandé hier soir sur ma messagerie. La raison sonne comme un improbable prétexte : ce serait l’anniversaire de sa copine finalement présente à Laon tout le week-end et qu’il ne peut laisser en plan.
J’en subodorerais presque une proche influence dissuasive… Décidément, de Lyon à Laon, si une seule lettre les sépare, chacune se trouve aux antipodes de l’alphabet partagé. Notre quarantième année ne fêtera pas nos retrouvailles. Il faudra sans doute attendre que quelques âmes malfaisantes passent l’arme à gauche pour que les relations se rétablissent puis se normalisent dans le regret du temps perdu.

Samedi 11 juillet
Jamais vu autant célébrés qu’ici le cœur surmonté d’une croix, les chefs chouans et toute la rébellion anti-Terreur… Cela a fait ressurgir en moi l’époque châtelaine où certains de nos jeux s’incarnaient dans la lutte des Chouans contre les barbares bleus, ces salauds de Républicains. Si lointains que sont ces instants, je garde mon affection culturelle pour ces personnages en lutte contre les dérives génocidaires des premières années de notre régime politique.
Moi, Cadoudal, aux côtés de Cottereau et La Rochejaquelein, je vomissais ce système démocratique qui s’affirmait en tentant d’éradiquer ses opposants… pratique bien ordinaire à l’échelle sanguinaire de l’humanité.
Jeux d’une enfance rêvée, malgré les petites facettes sordides qui se révèleront au fil du temps. Le rapport entre frères et cœurs de cœur était lui sincère, absolu, sans tache…
Le groupe des adultes qui avait permis qu’existe ce cadre idyllique, reconnaissons-le, occultait de bien médiocres coulisses : le chevalier lui aussi a ses perversions, la princesse ne peut s’affranchir des défécations… Et bien l’univers du hobereau, en rupture avec le modèle républicain, s’est enlaidi d’indignes pressions prétendument affectives, de reniements au nom d’impératifs financiers, du confort sexuel d’un seul par l’abus de chairs fraîches à disposition. Heïm, maudit non point par ses idées, mais par son infect bon vouloir de patriarche libidineux.

Lundi 13 juillet
Les longs, très longs passages consacrés à la brouille avec Alice, au passé partagé avec Heïm… Comme une obsession littéraire à entretenir.
La plus belle des sanctions contre le vieillard pédophile serait qu’aucune de ses descendances de sang ne reprenne son patronyme (à l’origine simple pseudonyme) se limitant au nom de famille originel qu’il repoussait : trop commun à son goût et ne traduisant pas la singulière épopée d’une légende à construire. L’histoire le retiendrait comme le seul Heïm, une incongruité à isoler dans l’arbre généalogique et n’ouvrant sur aucune descendance patronymique.

Lundi 20 juillet
Les scories de l’intellect, rêves, songes et autres cauchemars me renvoient sporadiquement vers l’époque des châteaux d’O et d’Au avec sa galerie de figures attachantes quoique mises à distance. La dominante des errances nocturnes mélange une affection persistante, mais faiblarde, très vite submergée par la détermination à ne pas retomber dans les travers névrotiques qui rongent l’existence. L’opportunité du retrait ou de faire sentir ma voie divergente est saisie, malgré la confusion onirique.
La réalité m’offre de bien plus performantes possibilités, notamment grâce à l’écriture. Les extraits de ce Journal à taire rassemblés dans Heïm le maudit, recueil numérique à accès protégé, forment un réquisitoire, éparse certes, mais à puissance grandissante les années passants, contre un personnage qui prétendait détenir la panacée pour la vie en groupe affinitaire, en fait réunion de petits et grands pour satisfaire un intérêt personnel, son central appétit sexuel. Sans pédication, point de salut !
A l’instant me revient l’époque où Hermione, adolescente, affichait un mécontentement quasi permanent, sans oser le prolonger devant son père. Ne s’agirait-il pas de la conséquence d’une tentative avortée d’intimité du libidineux géniteur ? N’ayant pu pleinement satisfaire son redoutable plaisir, Heïm résumera le portrait de ses deux filles, lors d’excès vitriolés dont il abusait, à Hermione le laideron et Alice la frigide. Que de la délicate affection paternelle…

Mercredi 22 juillet
Avant 12h. Vu Potter volet V hier soir avec  cousine et cousin : Nathalie, sa troupe et Serge. Le trio sort de l’adolescence et se risque à quelques élans sentimentaux, plus dans l’évocation que dans l’action… il faudra attendre pour découvrir une courbure d’Hermione Granger. Leur profil, leurs rapports me font immanquablement penser à ce qu’Hermione, Karl et moi formions au château d’O. On pourrait même pousser le parallèle jusqu’à la figure patriarcale de Dumbeldorf et de son ennemi Prince des Ténèbres : la mixture des deux rendrait bien compte de la double face d’Heïm, de l’apparent patriarche au réel malfaisant.

Dimanche 23 août
Rapidement accepté par AgoraVox, repris par deux sites (Paperblog et Coxvox) qui se nourrissent des écrits parus sur le Net, mon article sur Heïm a la diffusion que je souhaitais, au-delà de mon blog. Lorsqu’on tape Micberth dans Google, mon écrit sort en première position.
Peu de réactions (et peut-être tout simplement de lectures) à ce jour : l’une négative sur LDP, de la part d’un vaillant et courageux anonyme. Il souligne le « remarquable travail d’un excellent diarrhéiste », témoignant ainsi de son fond pas très net, voire carrément crade ; ceci expliquant cela.
Sur AgoraVox un enthousiaste commentaire qui rend hommage à la singularité du message de Heïm, y décelant des qualités de visionnaire ! Aucune allusion à la teneur critique de mon traitement. Superbe ignorance ? Peut-être une seule et même personne derrière. Pas une réussite éditoriale, donc, mais tel n’était pas l’objectif.
Premier palier sur la place publique d’Internet où je remets directement en cause la crédibilité du message philosophico-politique de Heïm au regard des tenants et aboutissants de son existence. Lui et ses proches liront ces lignes comme une nécessaire clarification. Le désistement de Karl, pour nos retrouvailles à Paris, a contribué à passer le cap. Advienne que pourra si la réception déclenche les haines.

Mardi 25 août
Un appel de Heïm le dimanche soir, un courriel de Monique le lendemain : les Gens du Nord s’agitent après la publication de mon écrit critique. Le grand jeu de Heïm combinant l’attaque affective (je n’existe que par « sa » volonté initiale…), les reproches et les rengaines : que du lourd éculé. Je renforce mon attitude distante sans lui balancer le détail de mes reproches.
Il fait mine de jouer sur l’expression « aux plaisirs sucés jusqu’à la mœlle de ses sujets », qui apparaît à la fin de l’article, se risquant même à prononcer l’ignominieux : « si je t’avais sucé, je m’en souviendrais ! »
Et le voilà qui revendique l’impeccabilité de son existence prouvable à tout moment par des dizaines de tonnes d’archives. Ce fatras paperassier ne tiendra pas une seconde le choc face à son flagrant délit de minable négation. Oui, libidineux Heïm, tu m’as sucé, oui ! m’incitant à un écoeurant soixante-neuf alors que je n’avais pas douze ans ! Ce comportement révèle toute la salauderie manipulatrice du reste de sa prétendue exemplaire existence.
Evidemment, tout est justifiable, y compris la trahison de sa parole. Son argument : la parole donnée ne vaut pas avec ceux qu’on estime indigne de la recevoir ! Et bien je l’applique à la lettre avec le soudard incommodé par mon évolution.
Et Monique se fend d’une couche faussement affective, s’arrogeant la qualité de me délivrer de judicieux conseils décorés de quelques sentences de premier choix : je dois faire ma « crise de la quarantaine », j’ai perdu dix ans en m’acharnant à poursuivre la voie du Gâchis exemplaire (argument plus que brumeux puisque le Journal à œillères, ex Gâchis, est totalement pro Heïm, au contraire de la suite, le Journal à taire).
Surtout ne pas céder à la polémique : l’entourage de Heïm doit me vouer une haine terrible. Aucune importance. J’ai affirmé une divergence sur le fond et je ne l’effacerai pas, mais ils sont si loin de connaître la radicalité de mes ressentis face à cette zone désormais infréquentable pour moi.
Heïm risque de me rappeler demain : garder le cap, il ne saura rien de plus.
A constater : ce qui l’a irrité le plus, c’est d’apparaître comme un obscur personnage, de minimiser l’importance de la Tribune libre de 76 et de reprendre la terminologie des journalistes critiques dans ces années. Cette tonalité, je l’ai reprise en conscience pour marquer la rupture avec mes engagements passés, sans les renier. Le « un certain Micberth » a beaucoup agacé, alors que F. Richard a titré un de ses ouvrages Micberth ? Connais pas !, singeant la déclaration de Daudet lorsqu’on l’interrogeait sur Bloy. Avec un panégyrique en contenu, les plus grosses ficelles sont accordées, mais dès qu’on touche, comme ex proche, à l’exemplarité dont se couronne Heïm, c’est l’implacable condescendance mal placée.
Point de crise, Monique, mais la simple continuité dans la dénonciation de travers ressentis comme tels depuis 1997…

Samedi 29 août
Le vent de fraîcheur sur les bords du Rhône signe comme une fin de saison estivale.
La nouvelle tentative de Heïm, jeudi à 14h45 alors que je devais partir dans le quart d’heure pour un FFP à CQFD, s’est écourtée bien plus vite qu’il ne l’aurait souhaité. Juste le temps de m’évoquer le « buzz » qu’avait engendré mon article. Pas vraiment vu la trace sur Internet : jamais un de mes articles sur AgoraVox n’a entraîné qu’un seul commentaire, le visionnage de l’émission a augmenté de moins de 150 clics et aucun autre écho sur la toile que la reprise habituelle de l’article par quelques sites. On fait plus bruyant et plus voyant comme buzz, lol !
On peut être aux antipodes vis-à-vis de Heïm et me reprocher la même chose, ce qui, en l’espèce, relativise leur procès d’intention. Monique et Alice m’ont chacun gratiné, à quelques mois d’intervalle, d’un « tu vaux mieux que tes écrits ! ». Outre la connerie confondante de ce qui se voudrait une sentence affective dissociant l’abject diariste de l’encore fréquentable « Lo ! » pour Alice et « Lolo » pour Monique (répétition sans doute occasionnée par le vénérable âge qu’elle associe à la sagesse raisonnable), l’expression commune révèle l’atroce inaptitude à intégrer et à accepter l’évolution d’un ex proche qui échappe à leur si généreuse volonté d’emprise.
Et bien qu’elles déchantent ! Mes écrits c’est moi, totalement, absolument, infiniment ! Je suis tout entier fondu dans ce que ma plume exprime. Aucune alambication caractérielle à chercher mesdames…
Je suis mes écrits, mes écrits sont moi, aussi détestable, immature et conditionné puis-je y apparaître. L’irrépressible élan à réagir par la voie littéraire aux érections morales de cet ankylosé monde du plat pays français aggrave mon cas, j’en conviens.

Samedi 5 septembre
Encore un message de Heïm qui me réclame un « dernier » rendez-vous téléphonique car, décidément, il « ne comprend pas » ma virulence à son encontre. Il doit se faire opérer des yeux dans dix jours pour pouvoir « écrire de nouveau ou être aveugle ». La dramaturgie d’un physique au bord du gouffre sans qu’aucune fatale conséquence ne se soit jamais imposée… Cette fois, peut-être ? Je ne le souhaite évidemment pas, mais l’ambiance existentielle qu’il colporte dans chacune de ses interventions téléphoniques m’est de plus en plus insupportable. Comme un boulet oppressant. Garder pourtant cette distance sans rupture brutale (il suffirait pour cela que je lui envoie une invitation à consulter Heïm le maudit en l’intimant de ne pas me rappeler car tout y est) afin que lui-même soit l’objet d’un double langage, d’une manipulation déroutante et d’une observation clinique. Patience donc…

Lundi 14 septembre, 22h43
Des réactions familiales bouleversées après la lecture de Heïm le maudit. Mon témoignage, mon ressenti ont fait mouche. Mes parents et Jim sont les premiers à me témoigner de ce choc à la lecture qui a conforté leur exécration du personnage.
Avec ces pages, j’ai un coup de grâce possible à tout moment contre Heïm, en inondant la toile. Pas encore le moment…

Mardi 22 septembre
Hier fin d’après-midi, nouvelle tentative de l’insubmersible Heïm pour décrypter ce que je lui reproche sur le plan personnel. Une heure et demie de quasi monologue : je n’ai rien lâché de plus, le laissant à son monomaniaque discours.
Sa priorité : que je ne sombre pas dans la minoration de ce qu’il est. Pour ce faire, les références se multiplient et il va jusqu’à affirmer que les « quelque 250 clics » sur l’émission Tribune libre proposée par Dailymotion, lorsque j’ai rédigé le texte incriminé, aurait surgonflé au point d’atteindre mille, deux mille, voire plus encore…
Je vérifie l’assertion : au 22 septembre, soit vingt-trois jours après la parution de mon si désobligeant article, on atteint vaillamment les 460 visionnages ! On est loin du raz-de-marée buzzien, quoi qu’il en dise.
Pour le reste, je le laisse à ses certitudes affichées, jouées ou, plus grave encore, véritables. Il ne « m’a pas enculé », au sens propre, affirmait-il hier : heureusement pépère ! Il s’est contenté de me sucer et de se faire sucer avec, pour ma part, un inextinguible dégoût.

Jeudi 3 décembre
Après cette résurgence du néfaste Heïm, suite à mon irrévérencieuse chronique, le silence s’impose à nouveau. Point de raz de marée pour aller visionner l’extrait du Tribune libre ayant aiguisé ma plume. Trois mois et demi après le compteur est passé de 250 à 750… soit un bond magistral de cinq connexions par jour. Le vieillard se voudrait central alors que pas un péquin sur cent croisés dans la rue ne connaît même son nom (le réel !). Risible manifestation de sa part donc, comme si la première des offenses tenait à une sous-estimation de son immanente influence…
La vieillesse, un naufrage ? Échoué le Heïm, sur les berges de sa réussite autoproclamée. Envers et contre tous les connards qui ont plus ou moins longuement pollué son existence et qu’il a bien voulu, dans sa magnificente grâce, accueillir, exploiter et expectorer au loin une fois le jus tari.
Curieux cet extrême, implacable détachement lorsque je songe à lui et à ses dernières années… comme si plus aucune humanité ne me portait vers lui et les rogatons de sa particulaire mesnie. Ni nostalgie, ni amertume : une distance cosmique d’avec cet univers si radicalement embrassé quinze ans plus tôt.

Mardi 29 décembre
Des familles proches qui vont bien et une ex famille de cœur dont, j’espère, je n’entendrai plus parler pour l’année à venir. L’insubmersible au mille maux déclarés cultive encore ce qu’il se convainc d’être de l’impeccabilité de vie. Comment oser ce terme et s’en faire un étendard contre tous ceux qui se risqueraient à le contredire lorsqu’on réunit l’ensemble des témoignages de ceux qui l’ont côtoyé et qui sont sortis de son influence.
Même le plus anecdotique marque sa façon d’utiliser l’autre. Mon pôpa me rapporte ainsi le cas de son appartement rue de l’Ouest à Paris, défraichi certes, mais sis dans un groupement d’immeubles avec cour intérieure et dont certains rez-de-chaussée avaient accueilli des ateliers de peintres impressionnistes. Alors que ce coin du XIVe arrondissement allait être en chantier de reconstruction totale, ce lieu fut protégé. J’y louerai d’ailleurs quelques mois, en 1994 ou 95, comme éditeur à la dérive, une surface pour prendre le relai de la vitrine parisienne que nous n’avions plus les moyens d’assumer. Un siège provisoire pour une débâcle programmée.
Revenons à l’époque du pôpa : il avait effectué quelques travaux et comptait bien le sous-louer en intégrant ces investissements. Alors qu’il avait trouvé preneur, le prix restant très attractif, il en a parlé incidemment à Heïm qui s’est montré très intéressé par l’affaire, d’autant qu’il n’aurait pas ainsi à traiter directement avec le propriétaire, mais seulement avec « l’ami » Decrauze. « Votre prix sera évidemment le mien » renchérit-il, toujours abondant en paroles généreuses.
Au moment de conclure, ses insidieuses maîtresses, celles que je considèrerais un temps comme des mamans, lui font passer le message, bien briefées par Heïm, qu’il profite de la situation, qu’il devrait être plus raisonnable financièrement… Après la bonté affichée (alors que pôpa n’avait rien demandé !) la tentative de culpabilisation par ses sbires féminins. Il ne cèdera pas.
Second acte de cette petite salauderie à la sauce heïmienne, quelques années plus tard, y ayant installé certaines de ses femmes afin qu’elles puissent bosser à Paris et lui rapporter le fric nécessaire, un proxénète de luxe en somme, pôpa apprendra (comme caution de fait) que certaines échéances du loyer n’avaient pas été honorées. Rappelons que, au même moment, Heïm se rengorgeait d’être châtelain avec quelques enfants-domestiques à sa botte ! A dégueuler.
Un véritable travail universitaire pourrait être consacré à faire témoigner tous ceux qui ont croisé son chemin et qui ont été en affaires (au sens large) avec lui. En regard de la monumentale Vie rebelle consacrée par le panégyriste en chef (tout seul !) F. Richard à Heïm, nous aurions la sordide réalité d’un personnage ayant fait de la manipulation, des fausses promesses, du double langage, de l’abus et de la consommation (au sens physique) de jeunes êtres en devenir et sous son efficace influence, une règle inavouable de vie. Et lorsque les écarts sont évoqués, c’est pour mieux souligner qu’avec les personnes qui lui sont inférieures, les principes moraux ne s’appliquent pas ! Autant dire que tout lui a été permis de son vivant, mais que sa crasse de vie emportera toutes les fioritures laudatives qui auraient subsisté pour une notoriété outre tombe.
Aucun compte à régler, juste une vérité à restituer. Comme une purge personnelle qui s’ajoute. Nourrir Heïm le maudit à chaque occasion. Autant de bonnes raisons qui justifient cette nouvelle charge.
Lui avoir fait effleurer la teneur d’un ressenti avec l’article « Tribune libre pour Micberth en liberté » sans rien lâcher de plus : la mission est accomplie pour 2009.

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